Depuis 1978, la ville du Mans organise un salon du livre, « Les 24 heures du livre ». Dès 1986 est attribué à cette occasion le Prix du roman policier francophone, qui devient en 1997 le Prix Michel-Lebrun en hommage au « pape du polar », romancier et cofondateur de l’association 813 décédé un an plus tôt. Quelques-unes de la quinzaine de personnes qui constituent le jury sont des membres de l'association 813.
Ce prix a été créé en 1985 par François Plet, Christian Poslaniec et Pierre Lebedel. Le 1er prix a été décerné en 1986 à Jean-Michel Guenassia : Prix du roman policier francophone du Mans - Prix des Galeries Lafayette du Mans. À partir de 1993, le jury a été présidé par Michel Lebrun, cofondateur de 813, romancier, essayiste et encyclopédiste de la littérature policière. Après sa disparition, le 20 juin 1996, les membres du jury décidèrent de donner son nom au prix.
Le Prix a couronné des écrivains de qualité, et a été le premier, par exemple, à récompenser Daniel Pennac ou à faire sortir des auteurs comme Fred Vargas ou Maurice G. Dantec à leurs débuts...
Depuis 1978, la ville du Mans organise un salon du livre, « Les 24 heures du livre ». Dès 1986 est attribué à cette occasion le Prix du roman policier francophone, qui devient en 1997 le Prix Michel-Lebrun en hommage au « pape du polar », romancier et cofondateur de l’association 813 décédé un an plus tôt. Quelques-unes de la quinzaine de personnes qui constituent le jury sont des membres de l'association 813.
Ce prix a été créé en 1985 par François Plet, Christian Poslaniec et Pierre Lebedel. Le 1er prix a été décerné en 1986 à Jean-Michel Guenassia : Prix du roman policier francophone du Mans - Prix des Galeries Lafayette du Mans. À partir de 1993, le jury a été présidé par Michel Lebrun, cofondateur de 813, romancier, essayiste et encyclopédiste de la littérature policière. Après sa disparition, le 20 juin 1996, les membres du jury décidèrent de donner son nom au prix.
Le Prix a couronné des écrivains de qualité, et a été le premier, par exemple, à récompenser Daniel Pennac ou à faire sortir des auteurs comme Fred Vargas ou Maurice G. Dantec à leurs débuts...