Petite prose et grand chapeau. Essai sur la littérature industrielle

Réaction de'un auteur à la suite de son pastiche d'une écrivaine bien connue ayant mal réagit à la parodie.

Fiche

Année
2005
Édition
Jibrille revue (n°5)
Production
Jibrille

Extrait

 

         Arrêtons-nous un instant, les cocos ! Il est de bon ton dans les milieux branchés de la capitale de prendre notre faiseuse de romans pour une pédante ou une pétasse qui n’a d’envergure que Pompilio. Elle vend du vent et Albin est content, elle pisse de la crotte et Michel se les frotte, dit la comptine des cantines, dans le VIe.  Mais surtout, pas une critique. Laissons les incultes penser qu’il s’agit de littérature - à offrir pour les fêtes -, et les autres, il est évident qu’ils n’en ont pas lu une ligne. C’est ce qui se pense dans Landerneau.