La puce à l’oreille

De l'écoeurante platitude des rapports humains à l'hystérie collective, on assiste ici avec sadisme et jubilation à l'emballement et au dérèglement progressifs d'une machine théâtrale; les personnages sont martyrisés dans un espace kafkaïen où toute pensée, tout amour sont anéantis, où une connerie humaine tantôt attendrissante, tantôt insupportable, faite de frustrations sexuelles et d'ahurissements, exalte son héroïsme du quotidien.  

Fiche

Année
2007