Ma grand-mère avait des doigts de sorcière

Au début, il y a l’enfance.

Au bout de l’enfance, la maison de la grand-mère.

Dans l’ombre de la grand-mère, les portes interdites.

Derrière les portes closes, les fascinants vols d’oies sauvages.

 

Catherine Pierloz se joue de ses souvenirs d’enfance. Elle retrouve le regard décalé des enfants sur un monde insaisissable, dangereux. Elle va puiser dans les réserves d’imaginations accumulées. Elle parle où la grand-mère s’est tue. Elle sait que les émerveillements ne sont pas sans effroi.

à partir de 6 ans

70 min

adaptable à de nombreux contextes

Fiche

Visuel
Année
2012