Philippe Bailly

  • Écrit / Spectacle vivant / Multimedia

Asval-en-terre

Fresque dramatique en deux actes et un épilogue.

15 acteurs, un dessinateur et une musicienne.

 

 

Fresque intemporelle d’une vallée perdue, hymne inconditionnel à la nature. Depuis les origines du monde jusqu’au futur, une civilisation qui se bat pour survivre, avec sa tradition, ses instincts et sa gouvernance. Un drame qui secouera le petit celte qui dort en chacun de nous.

Fiche

Images
Année
2002

Extrait

Quelques répliques :

 

« Les hommes gesticulent et les femmes bavardent, la race des chênes est supérieure. »

« La tradition a l’écorce fragile et les révolutions laissent des cicatrices. »

« C’est le serpent qui détient le savoir, pas le savant. »

« L’impertinence, c’est la pertinence qui s’énerve. »

« Si la pensée marche avec le ministre, nous n’avons plus qu’à suivre. »

« Tes croyances interpellent, mais elles sont incroyables. »

 « La voyance, c’est la vision du passé quotidien. »

« L’homme oublie qu’il descend de l’argile et qu’il n’est qu’une esquisse. »

« Les feuilles se font rares sur ma tête, mais je suis végétal. »

« Les chiens mordent à tous les mollets. »

« C’est le tanneur qui veut des peaux, pas l’habitant qui se fait tanner. »

« Heureusement, le burin sent le cœur de la pierre. »

« L’audace et la gloire ont souvent la vie courte. »

« L’échange des richesses augmente les fortunes. »