L'oreille absolue : malheurs enchantés et fêtes barbares
Ce texte est né de la fascination de l'auteur pour une peinture de Munch découverte au Fine Arts de Boston : La voix. Comment ne pas rêver avec lui devant cette peinture définitivement condamnée au silence. Il se met à évoquer, à faire chanter toutes les voix qui habitent son imaginaire, qu'il s'agisse de La Callas, de Ferrier ou de Schwarzkopf.
Création 5 octobre 1996 au Théâtre-Poème dans une mise en scène de Monique Dorsel.
L'oreille absolue a paru pour la première fois dans la revue Didascalies, n°3, avril 1982. L'édition à L'Ambedui intercale au texte initial de courts extraits de cinq autres oeuvres : "Tout le portrait de ma mère" (in Didascalies, n°4), Perdre, Ombres au tableau, Une seconde patrie et Une paix royale.
Fiche
- Visuel
- Année
- 1982