La révolution et autres petits drames

D’une certaine façon, la télévision, présente dans chaque « petit drame », symbolise la société occidentale dans laquelle nous vivons. Et chaque personnage, à un moment ou un autre, en a par-dessus la tête et décide de se libérer. Fini l’aliénation, la manipulation, la souffrance, se débarrasser du téléviseur devient alors en quelque sorte un acte révolutionnaire qui ouvre pour chacun les portes d’un monde neuf. La pièce comprend sept séquences autonomes ("La révolution", "Carabosse", "Le maçon", "Réalité chérie","Le candidat", "La prise", "Le journal télévisé") et un "Générique de fin" où se retrouvent tous les personnages des scènes précédentes. Création : Théâtre de la Balsamine, décembre 2006 Mise en scène Jasmina Douïeb

Fiche

Année
2006