Livret écrit pour un opéra composé par Philippe Boesmans. Création au Théâtre royal de la Monnaie, Bruxelles, 1983. Mertens s'inspire de la figure de Gilles de Rais, alias Barbe bleue, héros de la Guerre de Cent ans et criminel hors du commun, qui fut condamné à être pendu puis brûlé. Enregistrement public sur disque 33 tours (RICERCAR 024-25), Bruxelles, 1983. La création du spectacle a donné lieu à un film de Michel Jakar : Images d’un opéra – La Passion de Gilles/ Boesmans, RTBF, 1984, 45 '.

Belle à mourir est une comédie musicale de Thomas GUNZIG, écrite d'après l'épopée kurde Mamé ALAN. La chorégraphie et la mise en scène sont signées José Besprosvany. 40 représentations ont eu lieu du 9 septembre au 30 octobre 1999 au Théâtre Le Public de Bruxelles. Présentation par l'auteur de la comédie musicale (1999) : « Belle à mourir sera un spectacle de théâtre musical à la fois drôle et tragique pour six personnages. Bien que l’action se situe dans un pays lointain, le texte tentera de toucher les thèmes éternels de l’amour, de la politique, de la guerre, de la mort et de l’exil.

Traduction de divers mélodrames romantiques allemands mis en musique par Franz Liszt.

Un oratorio produit en 1989 par le Centre culturel de Tielt, avec une musique de P. De Clerck.

Des objets de la maison se réveillent la nuit et décident de partir en voyage.

https://soundcloud.com/matyn-wallecan/algeriennes Composition acousmatique. Il s'agissait d'un texte construit à partir de témoignages d'acteurs de la guerre d'Algérie. À la même époque, les bases de la musique concrète se fixaient dans les studios du GRM. J'ai appliqué les méthodes de transformation acousmatique à des documents d'époque. Le tout a été mixé en direct.

Oeuvre en cours. Le retour de Rimbaud dans sa patrie, à partir de sa lettrre du 20/02/91, à sa mère et à sa soeur où il leur annonce "Je vais mal à présent".  La figure centrale en est Rilmbaud, mais il ne sera représenté sur scène. Il existera à travers la parole de personnages (réels et imaginaires) qui l'auront croisé en Afrique et en Europe.

Opéra dansé inspiré du ballet de Massine créé et joué par douze interprètes, deux trapézistes, trois chanteurs et un orchestre dirigé par Georges-Elie Octors, scénographie et costumes de Goury. Cette nouvelle version de « La Pulcinella » d’Igor Stravinski rencontra un accueil chaleureux de plusieurs partenaires internationaux dont le Théâtre National de Bretagne, le Théâtre de la Ville, les Gémeaux-Scène Nationale de Sceaux (France), le Centre National des Arts d’Ottawa (Canada), Charleroi-Danses (Belgique) et The Place (UK)

La nature orale de ce texte ne se suffisait plus de la position allongée sur papier (et encore moins de l’obscurité du placard). Il fallait que ce long poème soit mis en voix, en musique, en scène. Prenne une dimension organique. Émerge d’une collision à la croisée d’horizons.

Émilie Praneuf et Amélie Lemonnier seront accompagnées sur scène par Alex Jacob, Salsky jr. et Bruno Jacob, trois musiciens qui forment Le Skeleton Band (à découvrir ici : http://www.leskeletonband.com)