Femme Aigre : (très agacée)  A la grande pelleteuse, les Sabines fougueuses, qu’on les     étrangle sans fin, sans pain.

Tous tombés sous ma vinasse, les jambes en l’air, les petits cris jouis, oui, ouiiiiiii !

Tous trop bu sauf moi, moinesse, prêtresse, traîtresse, conteuse de fesses, de pions, de culs, de trrrous d’culs !

Cuisinier : (apaisant)  Femme Aigre, tout est fini je te dit.

Au banc des ogres j’ai tout rôti, les oies blanches de la Capitale, l’agneau du sacré vice et ces chiens séniles…..

Femme Aigre : Chuuut, ils sont dans de beaux draps, en haut dans le gueuloir.

Chuuuut, Monsieur Socrate arrive, plus il boit, plus il voit, c’est une plaie.

Cuisinier : Dans de beaux draps ?

(plus bas) Les petites crevettes prises, noyées dans la baignoire……

Dorment pour toujours……

Cà giclait trop sous la douche, alors, pan dans de beaux draps on les a mises toi et moi.

Cuisinier et Femme Aigre : (en chœur) Et surtout pas d’os, tous rongés par notre chien   chien………

Rires tonitruants et cruels du cuisinier et de sa femme