Biographie
Geneviève Genicot, autrice de fiction, a signé le court roman Canicule (Maelström), hommage à Bruxelles à travers l'histoire d'un accompagnateur de train, et des nouvelles comme Les mains d'Enzo, illustrant la fin du service public postal français, ou Histoire d'amour, itinéraire d'un peintre en crise (Marginales).
Son récit poétique Sushi bar, rencontre de nuit entre Mister Boss, qui marche avec le capitalisme, et L’Homme, qui s’est extrait de la violence du flux, paraîtra aux éditions Phosphène avec des photographies de Sophie Le Béon. (texte finaliste du prix Bernard Vargaftig)
En revue, on peut lire sa poésie sur la ville et la vie moderne dans des publications comme Bacchanales (Maison de la Poésie Rhône-Alpes), Voix d'encre (Montélimar), la Revue des Archers (Marseille), Ressacs (Lille), Nouvelles d'Harfang (en ligne).
Certains de ses poèmes ont été mis en voix et en images dans des vidéopoèmes disponibles sur Youtube. Parmi eux, lin[s]eul, interprété par 15 artistes en format choral, ou Le symposium et le vautour, présenté à POETRY EXPO 23 dans le réseau européen Versopolis dans une traduction anglaise.
Geneviève lit et performe ses textes en public. Depuis 2022 elle propose, avec Samantha Barendson, Fany Buy et Pauline Picot (+ guests), la performance littéraire On se (re)voit très vite. Elle a participé à des festivals comme Textes en l'air (Saint-Antoine-l'Abbaye), Gratte-monde (Grenoble), le Marathon des autrices (Bruxelles), L'origine des mondes (Maison folie, Lille), les mardis de la poésie (Maison de la Poésie Rhône-Alpes). Elle a lu ses textes en espagnol et en anglais sur des scènes ouvertes à l'étranger.
Amoureuse du sens comme de la forme des mots, il lui arrive de les mettre en scène dans des peintures calligraphiées.
