Tempête de speed sur Cannes ou baiser rock’n’roll sur un crâne : Isabella Soupart ose tout, dans un maelström de formes et d’idées souvent hilarantes ou envoûtantes.Les (Inrockuptibles Fabienne Arvers)

Une atmosphère diaphane, tout à l’élégance d’une légèreté fulgurante, baigne ce monde saisi par le vertige du temps. (Mouvement Gérard Mayen)

De ce spectacle-là, étrange et pénétrant, on peut très bien sortir sans trop savoir pourquoi il nous a touchés. (Télérama Cathy Blisson) 

Juste par bribes In the wind of time est baignée par la question du temps. Inspiré par les travaux du physicien et philosophe Etienne Klein qui envisage l’ennui comme expérience métaphysique au sens qu’il fait percevoir un temps qui ne se confond plus avec ce qu’il contient, le temps y est également investit au travers des travaux d’artistes plasticiens tels Edith Dekyndt, Anish Kapoor et les One Minute Sculptures d’Erwin Wurm. S’élabore alors sous nos yeux, une scène où la temporalité s’envisage en termes de paradoxes et d’ambiguïtés.