Publié sur GrandPapier (sous le pseudonyme de Memphis Jack dans le cadre du projet Minneapolis John et dans Momon (La 5e Couche) sous le pseudonyme de Judith Forest).
Ce récit fut publié sur le site de GrandPapier [grandpapier.org] dans le cadre de Minneapolis John, projet lancé par GrandPapier et défini comme suit : 
Pas de thème ou de genre imposé, pas de contrainte spécifique de forme ou de style, 
l’enjeu est d’un autre ordre. Nous invitons les auteurs à produire un ou plusieurs récits en bande dessinée d’un minimum de 3 pages et cela, sans être reconnu. Sous couvert d’un pseudonyme, un nom d’emprunt qu’ils choisissent et un style d’écriture et des 
dessins suffisamment différents, ils doivent proposer un contenu de qualité mais qui 
restera méconnaissable ! Tout peut être tenté, être enfin tellement plus virtuose, révolté, féminin, masculine, obscène, doux, méticuleux, maniaque, minable, construit, érotique, coloré, classique ou radical.
Dans cette proposition, le jeu sur le pseudonyme et le faux-semblant prend la forme d’une mise en abyme du projet soumis par GrandPapier. Le nom d’emprunt choisi pour cette contribution est Memphis Jack. Le texte qui l’accompagnait est le suivant : Mister John is an adaptation of a short story by the well-known american writer O’ Harry. O. Harry is the pen name of American writer William Sydney Forest (September 11, 1862 – June 5, 1910). O. Harry short stories are known for wit, wordplay, warm characterization and clever twist endings (after Wikipedia). Ce qui rend le jeu sur les pseudonymes encore plus vertigineux, c’est que le récit fut proposé à GrandPapier par Judith Forest, comme elle l’explique dans son livre Momon. Or Judith Forest est aussi un nom d’emprunt. Le récit fut d’ailleurs inclus à la toute fin de Momon.

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