une famille aux prises avec la maladie du père durant les grèves de 1960 en wallonie

Note d'intention Au départ, ce récit se fonde sur un fait divers : l’échevin à l’enseignement d’un village wallon, pour éviter la fermeture d'une classe de son école trop peu fréquentée, a convié une famille de réfugiés Rwandais, (une veuve et ses enfants) à s’installer en ses murs. Tact ou maladresse, il n’a pas jugé utile d'expliquer les enjeux de son hospitalité à ses nouveaux bénéficiaires : la famille était logée en contrepartie de l’inscription des enfants à l’école.

Dans un hôtel en péril, deux frère et soeur jumaux survivent. L'hôtel est menacé d'insalubrité par l'OSP et ils mettent en oeuvre une pauvre stratégie.Et puis il y a Maude qui débarque et qui embrouille le fragile équilibre d'Alberto...

Bernard, pianiste et Philippe, peintre, vieux amis dans la quarantaine, volent les oeuvres de peintres flamands et hollandais du 16ème et 17ème siècle dans des collections privées et les remplacent par des faux. Un jour ils font la connaissance Anne, jeune femme mariée à un homme très riche et propriétaire d'un magnifique Ensor "Les masques blêmes" ...

Alter et Go, 22 ans, s’entendent, depuis leur plus tendre enfance, comme les doigts de la main. Ils forment un duo inséparable et ne cessent de faire les quatre cents coups et de faire des graffitis dans les endroits les plus improbables. Leur marque de fabrique : deux empreintes de main géantes. Un jour, Go meurt le plus bêtement du monde, assommé par un pot de fleurs ! Alors que tous les proches de Go font leur deuil, parfois de manière très incongrue, Alter se renferme dans son atelier. Il ne veut pas voir la réalité en face.