N'Ayez plus peur! Le secteur de la sécurité en plein essor.
Insoutenable lignite. Une région défigurée par la houille brune.
In don't belong anywhere
Comet Traitements : valorisation ultime
Lorsqu'une automobile part à la casse, l'Europe impose désormais de recycler 95% des matériaux qui la composent. La société wallonne COMET Traitements (Châtelet) va plus loin que cette exigence en atteignant un taux de valorisation de 98 % ! Un résultat obtenu en créant du carburant de synthèse sur base de résidus inertes de broyage.
CLAP : La nounou des tournages
Avec ses bases de données de lieux de tournage, de figurants-comédiens, de techniciens audio-visuels, le CLAP est un bureau d'accueil qui peut prendre en charge un tas de missions dans l'ombre des tournages de cinéma et de télévision. Immersion dans le quotidien de cette structure installée au sein du Pôle Image de Liège.
Euro-Diesel : pause interdite
Un amour rêvé
Enfant, Arthur est fasciné par l’histoire d’amour idyllique de ses grands-parents : une belle congolaise mariée à un colon belge. Mais peu de temps après le décès de sa grand-mère, le jeune réalisateur découvre des archives familiales qui bousculent ses souvenirs d’enfance. Ces archives sont le point de départ d’une exploration dans l’héritage colonial d’une famille métissée, dont les souffrances ont été passées sous silence.
Outreau : le destin brisé des Legrand
Décembre 2005 : à l'issue d'un procès retentissant, l'ensemble des accusés d'Outreau voyaient reconnue leur innocence. C'en était fini des accusations d'actes de pédophilie dont ils avaient été victimes.
Parmi les accusés, se trouvait le jeune Daniel Legrand. C’est en novembre 2001 que le destin du jeune homme et de son père avaient basculé. Tous deux étaient censés être les chefs du réseau de pédophilie d’Outreau.
Les fantômes d'Outreau
L’affaire dite "d’Outreau", qui a fait la Une des médias dès novembre 2001, a-t-elle révélé toutes ses vérités ? Le premier reportage de Georges Huercano-Hidalgo et Jean-Michel Dehon, diffusé en mars 2002 sur la RTBF (Télévision belge), fut mené comme une contre-enquête. Ces journalistes furent, sinon les seuls du moins, les premiers à confronter certains éléments du dossier d’accusation avec les faits.